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L’Autorité, Cassagnac et le boulangisme

L’année 1886 voit l’apparition sur la scène de publique de deux entités, un nouveau journal conservateur L’Autorité mené par l’irascible député Paul de Cassagnac, et l’arrivé au pouvoir du général Boulanger au sein du ministère Goblet.

Carte postale de L’Autorité
Source: Bibliothèque historique de la Ville de Paris

Les débuts de l’Autorité

L’Autorité est publié pour la première fois le 25 février 1886 par Paul de Cassagnac et l’ancienne équipe éditoriale du Pays. Sa création fait suite à un désaccord sur la nouvelle ligne éditoriale du Pays, après le décès de son propriétaire Gibias en mai 1885, et sa reprise par son gendre Loqueyssie qui est un jérômiste militant1. En effet, les années 1880 voient le camp bonapartiste se diviser en deux branches irréconciliable, les jérômistes et les victoristes. Les premiers suivent le prince Napoléon Jérôme, favorable à la République et anticlérical. Les seconds soutiennent le prince Victor, fils de Napoléon Jérôme, impérialistes, ils sont de fait beaucoup plus proches des mouvements royalistes. Ces deux branches sont des partisans du plébiscite pour régler la question du régime. Dans tout ce marasme, Paul de Cassagnac, comme l’indique le nom du journal qu’il fonde, est en premier lieu un partisan du prince Victor. En effet, à l’image de son père, Paul de Cassagnac est un polémiste endurci, adversaire de l’Empire libéral d’Émile Ollivier, viscéralement opposé à la Troisième république qu’il est le premier a surnommé « la Gueuse », et évidement critique des actions de Napoléon Jérôme. Cassagnac développe sa propre doctrine en parallèle de la stratégie bonapartiste au début des années 1880, le solutionnisme. Il est un fervent partisan de l’Union conservatrice face à la République, l’objectif premier est de sauver la France du danger républicain avant les guerres de chapelle dynastique. L’Autorité en est pleinement imprégné. 

Dès son premier numéro, l’Autorité annonce la couleur, le journal se divise en deux grandes parties, une partie politique et une partie littéraire. La politique a une place prépondérante dans le journal, traité par quatre éditorialistes, Paul de Cassagnac, Albert Rogat, Paul de Léoni et Alain Deflou, avec une orientation particulière : « Nous y mettrons surtout en lumière les efforts que fait la minorité conservatrice pour rester à la hauteur de son mandat »2. Ce numéro porte un long message de Cassagnac à destination des députés de l’Union des droites, qui permet d’illustrer la position particulière que le journal prend au sein de l’espace politique : « J’aurai pour implacables adversaires les républicains d’abords, comme autrefois, comme toujours, et ces prétendus conservateurs, impérialistes ou royalistes »3. Une position de franc tireur, à l’image de l’homme qu’est Cassagnac. De plus, ce message permet d’évoquer clairement le programme de Cassagnac et de l’Autorité au travers d’une phrase : « L’AUTORITÉ ? Où est-elle aujourd’hui ? Nulle part ! Où doit-elle être ? Partout ».

Ainsi, sous les auspices de l’Union conservatrice, la fondation de l’Autorité se déroule parallèlement à la montée politique d’un homme, George Ernest Boulanger.

L’Autorité face au général

Dans un premier temps, le général Boulanger est vu comme un fidèle des radicaux, la rumeur voulant qu’il ait été imposé par Clemenceau au poste de ministre de la Guerre. L’Autorité ne le voit pas d’un très bon œil, Deflou critique sa soumission à l’extrême gauche notamment par ses choix au sein de l’armée. Cassagnac le juge crûment : « Il veut jouer au Bonaparte, et ce n’est qu’un Rossignol, un de ces révolutionnaires qui ont des bottes, un grand panache, un grand sabre, mais qu’aucune grande idée ne mène et qui sont destinés à rentrer promptement dans les coulisses, après avoir paradé sur les planches, devant un public de barrière »4. Mais Boulanger devient vraiment un adversaire au moment où l’Autorité le voit comme un danger pour le pays lors des tensions avec l’Allemagne. Cassagnac tonne contre Boulanger avec deux articles évocateurs, l’un du 22 janvier 1887 intitulé « Un danger public », l’autre du 5 février, « Démission ! Démission ! ». En effet, Cassagnac voit dans un affrontement avec l’Allemagne un « péril de mort » pour la France. Il qualifie Boulanger de « provocation vivante contre l’Allemagne ». La chute de cabinet Goblet le 17 mai 1887, puis l’exil de Boulanger à Clermont-Ferrand n’éteint pas le mouvement populaire sur son nom. Cassagnac s’inquiète de cela : « Folies d’un peuple qui ne sait plus d’où il vient et ne sait pas encore où il va, que le parlementarisme a lassé, que la République est impuissante à retenir et qui publiquement s’agenouille devant un sabre, implore un maître, soupire après l’esclavage ! »5. Le scandale des décorations force Grévy a démissionné de son poste de président de la République le 2 décembre 1887, puis l’échec de Boulanger à revenir au pouvoir lance véritablement le mouvement boulangiste.

Général George Ernest Boulanger
Source: Gallica-BNF

L’Autorité et l’opportunité boulangiste

L’Autorité commence à changer son fusil d’épaule par rapport au général au moment des élections partielles de février 1888. Cassagnac analyse les 60 000 suffrages du général : « la portée de ce vote n’est pas dans une opinion politique précise, indiquant une forme de gouvernement particulière, déterminée. Elle est tout entière dans le besoin d’un chef, d’un homme, et, disons le mot, d’un sabre »6. Pour le polémiste, Boulanger devient « l’X cherché »7pour mettre à mort le régime parlementaire. Alors qu’il est toujours en activité, les différentes manifestations plébiscitaires du général le voit être radié de l’armée par un conseil d’enquête. Son élection aux législatives partielles du Nord et de la Dordogne, permet à Cassagnac8 de noter l’utilité qu’à Boulanger d’apporter les voix manquantes aux conservateurs dans les départements divisés. De plus, Boulanger devient l’initiateur de la révolution tant attendue par les conservateurs, qui renversera la république en mettant en mouvement l’opinion publique. Et enfin, Cassagnac constate dans la nature du mouvement boulangiste, le caractère « anti-républicain, antiparlementaire, un réveil du pays dans un sens autoritaire »9, tout ce qui constitue la doctrine politique de Cassagnac, en exceptant la partie religieuse. Ainsi, l’Autorité ne prend pas véritablement une position de soutien envers Boulanger, mais valide son utilité pour abattre le régime. Cassagnac, de manière éloquente dans une chronique du 27 avril, fait les louanges du manifeste du comte de Paris, qui confirme l’utilité de Boulanger comme : « un moteur puissant qui remue les masses, les met en mouvement, rend au peuple la conscience de ses droits ». Cassagnac ne voit à la fin de cette aventure qu’une restauration de l’empire ou de la royauté. Malgré des accords en sous-mains entre Boulanger et les monarchistes, officiellement il n’existe qu’une alliance informelle autour du slogan « dissolution, révision ».
Après un petit affaiblissement du mouvement boulangiste après la victoire en fanfare de Boulanger dans le Nord, le mois d’août 1888 est une véritable Bérézina pour les républicains, suite à la triple élection de Boulanger dans les départements du Nord, de la Somme et de la Charente Inférieure. Deflou décrit Boulanger comme le « général opposition »10. Il analyse la triple élection comme : « non un plébiscite d’un homme, mais un plébiscite contre un régime ; non une investiture, mais une destitution ; non une acclamation, mais un anathème »11. Cassagnac jubile du soufflet infligé aux républicains et au gouvernement, il prévoit encore un long combat entre la république et Boulanger12. Il note le caractère nouveau du boulangisme : il « n’est pas une doctrine, n’est pas un principe […] n’est pas un parti. C’est la coalition instinctive, sans entente préalable, sans programme, sans complicité, de tous les intérêts lésés, de toutes les misères, de toutes les désillusions, de tous les dégoûts, que les républicains ont accumulés depuis qu’ils sont au pouvoir ». L’Autorité alterne entre une défense de la personne de Boulanger et une différenciation du mouvement qui l’entoure.
Après une période marquée par des débats sur le mode de scrutin, et des tensions entre le comité républicain national de Boulanger et les monarchistes, le mois de janvier 1889 ouvre la voie au plus grand succès du général. L’élection législative partielle de la Seine du 27 janvier, précédé d’une campagne courte mais intense où l’argent coule à flot, se conclue par la victoire du général et l’épisode de la non marche vers l’Élysée. Cassagnac titre sa chronique du 29 janvier « VICTOIRE ! », exultant de la défaite de la République, « l’espoir revient à tous ceux qui depuis vingt ans courbaient la tête et voyaient souiller, fouler aux pieds leurs croyances, leurs libertés, et menacer leur fortune ». Cassagnac, dans un discours prononcé à la Chambre, voit derrière Boulanger une faveur de la providence13.

Caricature de Pépin, le Grelot, 20 janvier 1889
Source: Gallica-BNF

L’Autorité face à la chute du général Boulanger

Cette victoire en fanfare souligne la terrible décente qui suit cette élection. Le général Boulanger est devenu une menace pour le régime, Ernest Constant nommé dans le nouveau ministère au poste de ministre de l’Intérieur lance les hostilités en poursuivant la Ligue des patriotes, puis Boulanger, qui fuit face aux menaces d’arrestation en Belgique. Constant souhaite juger Boulanger et la Ligue dans un procès au Sénat en Haute-Cour. Cassagnac juge un tel projet illégal dans l’Autorité du 31 mars : « Le crime du général Boulanger est un crime qui ne saurait tomber sous la loi, cette loi fût-elle torturée à plaisir, car il consiste uniquement dans la popularité que soulèvent son nom et son programme ». Mais, le polémiste y trouve aussi du positif : ce serait le dernier clou planté au cercueil du régime, car le gouvernement renforcerait le courant antiparlementaire du pays en faisant de Boulanger un martyr. De même, l’éviction de Boulanger serait profitable à la droite : « la suppression du général Boulanger, question d’iniquité à part, ne nous déplairait pas outre mesure, car désormais nous serions seuls à profiter du mouvement qu’il a créé, sans avoir à nous préoccuper des inconvénients que présentent et sa personne et sa République et son entourage. L’héritage, c’est nous qui le recueillerions ».
Cassagnac est dans un premier temps favorable à la fuite de Boulanger. L’Autorité devient un pourfendeur de la Haute-Cour, critiquant à tout-va son illégitimité. Cassagnac parle de « loi scélérate »14 pour caractériser la mobilisation de la Haute-Cour, la comparant à la Chambre des Pairs de la Restauration. En parallèle, les élections générales se préparent. Cassagnac est optimiste, en jugeant que les voix boulangistes apporteront les voix manquantes aux conservateurs. Mais cela ne l’empêche pas de critiquer le Comité républicain national. Il trace un portrait salé des individus composant le comité : « si l’on y peut voir quelques braves gens, la majorité se compose de déserteurs de différents partis politiques, des balayures et scories de la République ou de la Monarchie, gens avides et ambitieux qui, n’ayant pu se faire une situation dans la vie régulière, courent après les aventures et l’imprévu ». Il insiste également sur l’alliance nécessaire entre boulangistes et conservateurs. Mais une alliance qui doit être sur un pied d’égalité : « Si nous sommes les alliés du général Boulanger, et sur un terrain nettement défini, nous ne sommes ni ses serviteurs, ni ses valets, et encore moins les serviteurs et les valets des dépenaillés qui s’abritent sous son panache »15. Cassagnac se range sous la théorie de la marche parallèle, qui est utilisé par Boulanger dans une lettre lors du banquet de Tours.
Les élections sont fixées pour le 22 septembre. Des rumeurs commencent à se propager autour d’un retour de Boulanger pour cette élection capitale. L’Autorité commente les différentes rumeurs propagées par la presse16, sans prendre parti. Cassagnac, avant le début des élections, de manière très optimiste, continue son travail d’influence électoral, persuadé de la future victoire17. Il priorise le programme révisionniste sur les principes dynastiques, en appelant les intransigeants de droite à faire un effort pour se débarrasser de la République, au lieu de se disputer sur les droits dynastiques18. Cassagnac dilue même énormément son discours pour rassurer les électeurs : « Nous n’avons pas du tout, mais pas du tout, l’intention de modifier quoi que ce soit, pour le moment, dans les institutions actuelles […]. Le mandat que l’on va nous donner n’est pas un mandat dynastique[…], la République, balayée et nettoyée des scélérats qui la souillent, [pourrait], sans être un gouvernement idéal à nos yeux, devenir du moins un gouvernement supportable et habitable »19.
En raison d’une campagne mal préparée, la coalition boulango-conservatrice sort perdante au soir du premier tour, les républicains conservent la majorité avec 4 276 925 voix contre 3 669 404 voix pour l’opposition20. Cassagnac reste persuadé que les ballottages donneront la majorité au camp révisionniste21. Le second tour se déroule le 6 octobre, Cassagnac, dans l’Autorité du 8, montre une relative satisfaction, après avoir lutté contre le « banditisme gouvernemental ». Mais il explique l’insuccès électoral par l’absence de Boulanger. Il ne fait pas encore porter le chapeau au général, mais à son entourage. Il est même persuadé que les conservateurs ont maintenu leurs positions, alors qu’ils ont perdu 35 sièges et ont subi un recul de voix de 6,5 points22.
Après le temps du déni, il faut trouver un coupable. L’Autorité retrouve alors une position très critique envers Boulanger. Cassagnac commence à mettre la responsabilité de l’échec des élections sur le dos du général : « C’est comme aventurier, non comme homme d’État, qu’il fut acclamé par sept départements […]. Quand on n’est pas prêt A TOUT, décidé à tout, il vaut mieux ne se mêler de rien ». La légalité, dans laquelle s’est enfermé le général, est pour Cassagnac la cause de son échec. Mais le polémiste continue à charger principalement l’état-major boulangiste pour avoir empêché Boulanger de revenir en France, alors même que le général n’avait aucune intention de le faire.
La défaite tend les relations entre les conservateurs et les boulangistes. Cassagnac continue aussi à ruminer sur la défaite électorale en accusant Boulanger de n’être pas revenu en France23. Les élections municipales de Paris marquent la dernière tentative des boulangistes pour renverser la vapeur. Au travers des consignes de vote de Cassagnac24, on remarque la cassure entre la droite et les boulangistes. S’il y a un candidat conservateur, il faut voter pour lui (la droite ne présente que 14 candidats pour 46 en 1887), sinon voter pour un candidat favorable à la religion. Cette chronique donne l’occasion à Cassagnac de rappeler que l’Autorité n’a jamais été boulangiste, mais seulement l’allié du général, et qu’elle ne doit donc pas s’excuser auprès des républicains, comme certains journaux conservateurs le font après avoir soutenu Boulanger. Ainsi, Cassagnac donne comme troisième graduation de vote le candidat boulangiste, car il promet la liberté de conscience.
Le boulangisme est en pleine déliquescence, mais il voit un des plus grands règlements de compte de l’histoire politique, qui débute par la publication dans Le Figaro des Coulisses du boulangisme à partir du 19 août. L’Autorité publie un démenti sur des informations sorties par Mermeix sur les négociations menées par Mackau et Martimprey avec le général25. Gabriel Baume, dans le même numéro, critique les auteurs des Coulisses : « Ils doivent tout au général Boulanger ; sans lui, la plupart n’auraient jamais existé politiquement parlant ; quelques-uns sont députés par lui ; les autres vivaient dans l’espoir de grasses récompenses ». Peu de monarchistes s’expriment sur les Coulisses, sauf Cassagnac, qui ne s’empêche pas de signifier qu’il était dans le secret des dieux : « j’ai la légitime prétention de connaître autant de choses et d’avoir soulevé autant de dessous de cartes que l’auteur des Coulisses du boulangisme, et autres révélateurs du moment » ; « Je connais, comme certains autres, l’origine, à un sou près, des ressources financières qui ont successivement alimenté le boulangisme », mais il ne dira rien parce que: « Les partis politiques sérieux sont ceux qui ne font pas de révélations ».
Jusqu’au suicide du général, l’Autorité continue à suivre et à republier les différentes nouvelles des Coulisses du boulangisme et les différentes lettres du général. Cassagnac ne s’empêche pas de critiquer les anciens fidèles de Boulanger comme Mermeix26 ou Le Hérissé27, qui conservent leurs mandats de député alors qu’ils ne sont plus boulangistes.
Le général Boulanger se suicide le 30 septembre 1891 sur la tombe de Mme de Bonnemains. Paul de Léoni réagit durement dans l’Autorité du 2 octobre : « Ce dénouement ne nous surprend nullement. Il y a longtemps que le général Boulanger a été jugé ici et apprécié à sa juste valeur. Il ne comprit jamais sa mission et jamais il ne fut à la hauteur de sa tâche ». Sa mort interroge sur le futur des restes de son mouvement, Paul de Léoni estime que les forces restantes peuvent retourner chez les radicaux d’où elles sont originaires, comme le Hérissé28. Cassagnac acte la fin du parti boulangiste, en louant Rochefort et Déroulède qui sont les seuls à être restés fidèles à leurs idées29.

Une de l’Autorité du 2 octobre 1891
Source: Retro news

Conclusion


L’expérience boulangiste marque la première crise majeure de la troisième République. Ce mouvement fondé sur le nom d’un homme, qui a rassemblé autour de lui des hommes de gauche comme de droite, se conclut dans l’anonymat le plus total. L’Autorité a été un auxiliaire de cette équipée, d’abord comme opposant puis comme soutien, mais inconsistant, en cause la différence de projet politique entre Boulanger et Cassagnac, et du caractère de ce dernier, qui jouent dans les changements de position du journal, tout en marquant une fidélité sans faille à l’idée de marche parallèle.


  1. Thibault Gandouly, Paul de Cassagnac, l’enfant terrible du bonapartisme, Paris, Via Romana, 2018 p.157 ↩︎
  2. L’Autorité, 25 février 1886 ↩︎
  3. Idem ↩︎
  4. L’Autorité, 21 juillet 1886 ↩︎
  5. L’Autorité, 11 juillet 1887 ↩︎
  6. L’Autorité, 29 février 1888 ↩︎
  7. L’Autorité, 1 mars 1888 ↩︎
  8. L’Autorité, 12 avril 1888 ↩︎
  9. L’Autorité,13 avril 1888 ↩︎
  10. L’Autorité, 21 août 1888 ↩︎
  11. L’Autorité, 22 août 1888 ↩︎
  12. L’Autorité, 24 août 1888 ↩︎
  13. L’Autorité, 2 février 1889 ↩︎
  14. L’Autorité, 10 avril 1889 ↩︎
  15. L’Autorité, 26 avril 1889 ↩︎
  16. L’Autorité, 4 septembre 1889 ↩︎
  17. L’Autorité, 9, 17 et 22 septembre 1889 ↩︎
  18. L’Autorité, 15 septembre 1889 ↩︎
  19. L’Autorité, 21 septembre 1889 ↩︎
  20. Bertrand Joly, Aux origines du populisme: histoire du boulangisme 1886-1891, Paris, CNR édition, 2022 P.634 ↩︎
  21. L’Autorité, 25 septembre 1889 ↩︎
  22. Bertrand Joly, Aux origines du populisme: histoire du boulangisme 1886-1891, Paris, CNR édition, 2022 P.639 ↩︎
  23. L’Autorité, 21 janvier 1890 ↩︎
  24. L’Autorité, 14 avril 1890 ↩︎
  25. L’Autorité, 1 septembre 1890 ↩︎
  26. L’Autorité, 25 octobre 1891 ↩︎
  27. L’Autorité, 23 août 1891 ↩︎
  28. L’Autorité, 6 octobre 1891 ↩︎
  29. L’Autorité, 9 octobre 1891 ↩︎

OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Heron Nathan (9 décembre 2024). L’Autorité, Cassagnac et le boulangisme. Master civilisations, cultures et sociétés. Consulté le 17 février 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/12vj5


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